Chouette Magazine

Mélanie Mouvet

Mélanie Mouvet

Coups de coeur

Catégorie : Autres

Chroniqueuse depuis avril 2013



www.clovismarley.wordpress.com

J'ai manqué le concert de Jain

publiée le 28 mars 2017


Ce samedi soir, je me faisais une joie d’aller au concert de Jain, je l’attends depuis des mois! La soirée commence bien, je finis le boulot une heure plus tôt, j’arrive à Bruxelles sans embouteillage et je trouve une place de parking directement à côté de chez mon amie, Olive. Oh Joie!


On mange à notre aise, on se raconte les derniers potins et on prend le tram, direction l’Ancienne Belgique. Nous arrivons devant la salle avec un peu de retard. Nous ne voulions pas spécialement découvrir la première partie, mais juste danser et chanter avec Jain!


Surprise, malgré notre arrivée tardive, il y a une file assez longue… on entend autour de nous que certains étaient déjà à l’intérieur mais poussés par l’envie d’une clope, qu’ils regrettent amèrement, les revoilà dans la file.


Après 15 minutes, et avec l’arrivée de la police, on nous demande de reculer, d’abord de quelques mètres ensuite jusqu’au coin de la rue. Sans aucune information, quelques minutes plus tard, on nous demande de reculer encore plus loin, on commence à paniquer et à se poser beaucoup de questions. Ceux qui étaient déjà à l’intérieur commencent à sortir, ils évacuent la salle. Les gens ont l’air serein, tout se passe dans le calme, ce qui est rassurant, mais seulement à moitié.


Arrivée d’autres combis de police et de quelques militaires, on nous demande de reculer sur le boulevard, dans un premier temps et ensuite jusqu’à la Bourse. Toujours sans la moindre information, notre imagination nous joue d’ailleurs quelques tours mais on essaye de relativiser. Réflexe 2.0, on regarde sur les réseaux sociaux à la recherche d’indices et on communique avec nos proches pour savoir s’ils en ont. Le périmètre de sécurité est mis en place, tout le monde attend, certains commencent même à partir.


On nous demande ensuite d’aller sur la Grand Place et là, on se dit que le concert va être annulé, l’alerte à la bombe est déclarée… Aucune communication officielle de l’ancienne Belgique, juste un tweet de Jain pour dire que la salle est fouillée et que le concert n’est pas encore annulé. J’avoue qu’on perd espoir et surtout le coeur et l’esprit ne sont plus à la fête…


On se prend une réalité, qu’on avait presque failli oubliée, de plein fouet!


En remontant vers la Grand Place et toujours sans nouvelles, nous décidons de rentrer et c’est seulement arrivées à la maison, que l’information nous arrive, le concert va commencer…


Grosse déception et en même temps, l’envie est partie. Je regrette l’absence d’information et, égoïstement, la reprise du concert…


Chose positive, j’ai vu, pour la première fois, notre magnifique Grand Place sans aucun bâtiment en travaux ou en rénovation…


Je m’en vais au pays des rêves, qui je l’espère sera rempli de licornes et de poneys, plutôt que d’alertes à la bombe!


Jeff Panacloc perd le contrôle ou le laisse à Jean-Marc

publiée le 15 mars 2016


Ce mardi 1er Mars, j’ai assisté au spectacle de Jeff Panacloc à Forest National. Pour ceux qui ne connaissent pas Jeff (sérieux ?) c’est l’humoriste qui se balade avec un singe orange, répondant au nom de Jean-Marc, au bout du bras. Je suis totalement fan du singe, sa naïveté, son franc-parler, son sens aigu de la répartie et ses vannes de merde. Je sais que c’est juste une marionnette mais on l’oublie complètement lors du spectacle, c’est un vrai two man show !


J’ai été agréablement surprise par le spectacle, déjà Jeff fait une partie du spectacle seul et improvise avec le public, il fait même monter une personne sur scène pour un sketch. Il modernise vraiment la ventriloquie, il nous prouve l’étendue de son talent tout au long du spectacle.


Jean-Marc n’épargne personne, de Mimi Mathy à François Hollande, en passant par Sarkozy, les bretons, les belges, Yannick Noah ou encore les Enfoirés, tout le monde en prend pour son grade et surtout Jeff. L’avantage c’est que dans la bouche de Jean-Marc tout passe, sans mauvais jeux de mots.


La vanne de la soirée, que tout le monde attend c’est le fameux « Il est content », on y a eu droit juste au bon moment. Personnellement ma vanne préférée reste celle avec le bureau Ikéa et le fameux « elles suçent pas les Suédoises ? ».


J’ai pleuré de rire grâce à Jean-Marc et ça fait du bien, la fin du spectacle est plus dans l’émotion, Jeff finit par saluer son public en larmes et c’est super touchant. Bravo l’artiste !


JoeyStarr, nouveau jury « Star » de la Nouvelle Star

publiée le 01 mars 2016


Hier soir, j’ai regardé la première émission de la nouvelle saison de la Nouvelle Star. Cette nouvelle saison est diffusée sur AB3 au lendemain de la diffusion française sur D8. LA grande nouveauté de cette année, c’est JoeyStarr en nouveau membre du jury.


Le personnage m’intrigue, je respecte beaucoup l’acteur et l’artiste mais il me fait peur, j’ai toujours l’impression qu’il est à deux doigts de mettre une droite à la personne en face ou à côté de lui. J’étais assez impatiente de le découvrir dans ce nouveau « rôle ».


Verdict ? On pourrait résumer que JoeyStarr est un dur au cœur tendre. Je n’aimerais pas être en face de lui car même quand il aime une prestation, le candidat s’en prend plein la tronche… Par contre, il réveille l’émission. La Nouvelle Star c’est une découverte de talents avec des univers toujours bien définis et particuliers mais c’est, avant tout, un jury emblématique, charismatique qui dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas.


André Manoukian est là pour faire des phrases philosophiques interminables, Sinclair peut te refroidir en un seul regard, Elodie Frégé est là pour le charme et la douceur et JoeyStar vient tout balancer sans aucun filtre et rend le programme rock’n’roll. A côté de ça, il a sa place dans le programme grâce à son professionnalisme et son expérience artistique comme les trois autres. Le jury est très légitime et reprend l’énergie du début qui m’avait manqué certaines saisons.


Les perles de la soirée :
« J’avais surtout envie de me lever, de lui donner un coup de genou bien placé dans les sacoches »
« Il y a des candidats qui ont posé leurs couilles sur la table. Toi, là, il n’y a même pas un poil pubien »


Ça c’est quand il n’aime pas et quand il aime bien, ça donne ;
« Gentil ? Non c’est pas gentil. J’ai pas le temps ! »
« Ce truc que tu as sur la tête, c’est pour capter mieux les ondes téléphoniques ? »
« Moi j’t’aime pas. J’aime pas ta coupe de cheveux, je te trouve très énervant de tout ton long… »


Vivement la prochaine émission !


Piqûre de rappel !

publiée le 17 mars 2015


Sixième séance de coaching, petit rappel: “la personne la plus importante c’est moi!”.

Avec Manoëlle, nous avons fait un point sur la situation, les événements récents, et surtout sur l’alimentation. Avec mon rythme de vie pour le moment, j’ai fait un peu n’importe quoi au niveau de mon alimentation, j’ai sauté des repas, j’ai bu du coca et mangé pas mal de crasses. Ce qui en plus d’être mauvais, est un gouffre financier. Il est grand temps de se reprendre en main et de cuisiner des bons petits plats. Depuis une semaine, j’améliore ma qualité de vie alimentaire, en plus avec Top Chef, c’est motivant et inspirant.
Il faut savoir que j’ai un blocage psychologique avec les fruits et les légumes, j’ai une phobie alimentaire. Mis à part en potage, je ne sais pas en consommer c’est une source d’angoisse. Cela fait souvent beaucoup parler dans les repas avec des nouvelles personnes mais c’est ce que je suis, j’aimerais y arriver mais c’est très difficile pour moi. Certaines personnes ont peur du vide, du noir ou des insectes, moi ce sont les fruits et légumes.


Je me recentre également sur mes envies, j’essaye de faire ce que je veux et surtout quand je le veux, j’ai pas mal d’activités professionnelles pour le moment et je dois reprendre un rythme, je suis assez fatiguée et ma vie sociale passe au second plan mais ça me convient pour le moment. C’est juste une question d’adaptation et de reprise de rythme. Je me suis également inscrite sur “The Place 2 be Single“, je me sens enfin prête à rencontrer quelqu’un. Je sais qu’Il va arriver bientôt.


Vous aussi, vous voulez vivre votre vie pleinement et vous assumez totalement, contactez Manoëlle Van Der Straeten au 0475/22.07.65.


Brigitte ou la complémentarité des contrastes

publiée le 03 mars 2015


Samedi soir, en route pour le concert de Brigitte à l’Ancienne Belgique. Je rejoins ma sœur à son appart et nous prenons le métro (gratuit avec l’Event Pass, si on avait su ça plus tôt, on en aurait économisé de l’argent… 12€ le parking à chaque concert, t’imagines!).


On arrive vers 19h, la salle est déjà ouverte et on se trouve des places aux barrières en plein milieu, autant dire qu’on a jamais été aussi bien placées. 20h, la première partie arrive, “Chat”. Au premier abord pas super fan et puis la reprise française d’American Boy me séduit et finalement c’est pas mal ce qu’elle fait.


21h, arrivée de Brigitte, salle en folie. Les filles nous disent qu’on les a prévenues que l’AB, c’était quelque chose mais leurs émotions et leurs sourires prouvent qu’elles ne s’attendaient pas à ça. C’est partit pour 1h45 de musique, de danse et de chant. Les musiciens assurent, les filles aussi évidemment et le public ne veut pas qu’elles partent. Elles reviennent pour un morceau à cappella sans micro et là, j’ai vécu un moment de magie suspendu dans le temps. Merci Brigitte!


Brigitte, pour moi ce sont les contrastes par excellence, même si elles chantent d’une seule voix et qu’elles poussent la ressemblance jusqu’à porter des perruques identiques et des lentilles de contact. Sylvie et Aurélie, c’est la complémentarité de la beauté et du charisme, de la timidité et de l’extravagance, de la sagesse et de la folie, du sensuel et du sexy. En fait Brigitte c’est LA femme dans tous ses états.


J’aime leur folie et leur côté décalé. Quand on leur demande de reprendre une chanson d’amour, elle reprennent “Ma Benz” de NTM, dont leur version est sensuelle et électrisante. J’ai déjà hâte qu’elles reviennent en concert!


Le 7 Janvier 2015

publiée le 27 janvier 2015


Après ces derniers jours, j’ai eu difficile à reprendre l'écriture de mes chroniques habituelles, j'ai du mal à écrire sur moi, sur mon vécu, mes expériences non par peur suite à ce qui s'est passé à Paris mais par manque d'inspiration.


J'aimerais souligner le courage de ces hommes et de ces femmes qui se battent pour la liberté, notre liberté à tous. Je ne souhaite pas mettre de titre à cette chronique car elle me permet juste d’exprimer ce que j’ai ressenti.


L’image qui m’a le plus choqué, c’est le coup de fusil fatal sur ce policier à terre qu'on achève comme une bête. Ensuite, les tweets postés par des gens qui pensent que, je cite, « c’est bien fait pour eux ». Ces gens sont déconnectés de la réalité. Je pense (ou du moins je l'espère) qu’ils ne se rendent pas compte qu’on parle d’assassinats, de meurtres, de tueries, de barbaries, d'attentats.


On n’oubliera jamais ce qu’on faisait ce 7 Janvier 2015 au moment de l’attentat de Charlie Hebdo. Il y a une phrase que j’ai trouvée sur Facebook et je la trouve tellement symbolique « Vous n’avez pas tué Charlie Hebdo, vous l’avez rendu immortel ».


J'avoue que je ne suis pas une lectrice de Charlie Hebdo, j'ai découvert beaucoup de leurs caricatures par le biais des médias, mais j'ai été bouleversée par cette tuerie comme tout le monde. Répondre à un dessin ou à toutes autres idées par le sang n'a jamais été une solution. Je ne veux en aucun cas me lancer dans un débat politique mais juste rendre hommage à ces victimes.


Et promis pour la prochaine fois, je reviendrai avec plus de légèreté...


Pour entendre "Je t'Aime", il faut commencer par "Je m'Aime"

publiée le 13 janvier 2015


Pour la quatrième séance, j’avais envie de travailler sur ma vie personnelle. Cette période est difficile pour les célibataires et j’avoue que c’est un moment où je me mets beaucoup de pression.


Comme à chaque début de séance, nous avons fait le bilan. Nous avons parlé d’un projet professionnel qui me tient à cœur et qui est revenu récemment dans ma vie. Manoëlle m’a posé des questions, encouragée et surtout m’a aidé à faire une “to-do list” des choses à faire et à mettre en place. Elle arrive chaque fois à me titiller pour que je me pose les bonnes questions et à mettre le doigt sur les points utiles pour avancer.


Ensuite nous sommes allés sur le terrain de l’affectif, du sentiment de solitude propice au célibat pendant cette période festive.


J’avais besoin de vider mon sac, de lâcher la pression inutile que je me mets… On va travailler ensemble sur l’estime de soi et la confiance en soi. Première chose que j’ai retenue de la séance, quand une personne ou une phrase nous blesse c’est qu’on a choisi de la laisser nous atteindre. Je me sens déjà plus forte aujourd’hui car j’ai pris la décision d’être inébranlable. On a toujours le choix et nous sommes maîtres de notre vie.


Pour pouvoir être aimée ou désirée, il faut d’abord apprendre à s’aimer soi-même. J’ai fait avec Manoëlle, une liste de mes qualités et des compliments que j’aimerais entendre d’un homme. La liste est affichée dans ma salle de bain comme un mémo et je vais l’apprendre par cœur.


Le chemin vers l’acceptation de moi a commencé!
Je vous tiens au courant de l’évolution bien évidemment…


Si vous aussi, vous avez besoin d’un coup de pouce afin de changer de vie, contactez Manoëlle au 0475/22.07.65.


La troisième séance

publiée le 16 décembre 2014


Avec ma coach (ça le fait ou pas ?), nous en sommes déjà à notre troisième séance. Cette séance nous l’avons faite par téléphone pour plus de facilité pour chacune.


Pour commencer, nous avons fait un « état des lieux » afin de voir où j’en étais par rapport au travail déjà effectué. Je continue mes bonnes résolutions par rapport au soda que je ne consomme plus du tout, je minci progressivement mais durablement. Au point de vue professionnel, j’ai établi mes objectifs de vente pour le mois de décembre et pour le moment c’est cohérent, j’ai un esprit positif et résistant à toute épreuve.


Cette séance, j’ai voulu l’axer sur un entretien professionnel que j’avais le lendemain et pour lequel j’étais stressée car il y avait beaucoup de zones d’ombres. Nous avons d’abord ensemble relevé toutes les inconnues de cet entretien et mis en place une série de questions auxquelles je devais avoir les réponses le lendemain. Elle m’a ensuite mis en avant toutes mes qualités et fait une préparation psychologique afin que je sois forte et confiante lors du rendez-vous.


Elle m’a aussi demandé d’un point de vue professionnel quel était mon modèle, et comme j’en ai déjà parlé sur le blog, je suis admirative de Steve Jobs. Uniquement d’un point de vue de la réussite professionnelle, j’aime ses convictions et sa confiance en lui. J’admire les gens qui arrivent à nous créer un besoin. On ne veut pas un smartphone, on veut un Iphone. On parle de la marque ou du modèle et non de la catégorie de produit et à mon avis, c’est ça la réussite.


Nous avons même parlé de la tenue que j’allais porter pour me sentir en confiance, ancrée sur mes deux pieds. Le jour J, j’ai reçu des messages d’encouragements et après l’entretien, je lui ai téléphoné afin de lui expliquer comment ça c’était passé.


Ce qui est important dans un coaching, c’est qu’on se sent épaulé, on est à deux dans « l’épreuve ». On se pose les bonnes questions, j’ai été valorisée et mise en confiance, j’ai senti que je n’étais pas seule. Le film « Hitch » n’est pas si loin de la réalité, en oubliant le côté « gag », c’est juste que Manoëlle n’est pas toujours à côté de moi dans l’action mais avec moi par la pensée.


Je sens que j’évolue positivement, que je dépasse mes anciennes limites et que j’ai déjà une meilleure confiance en moi. On continue comme ça !


Si vous aussi, vous avez besoin d’un coup de pouce afin de changer de vie, contactez Manoelle au 0475/22.07.65.


La personne la plus importante dans ma vie, c'est moi !

publiée le 09 décembre 2014


Ca y est, j’ai commencé le coaching avec Manoelle van der Straten, comme promis voici le journal de bord de nos rencontres.


Nous allons travailler sur 3 points principaux; le bien être personnel, le travail et la vie de couple.


Nous avons commencé par le bien-être personnel, j’aimerais avoir une meilleur image de moi, me sentir mieux dans mon corps.


Pour commencer, Manoelle m’a fait accepter que la personne la plus importante dans ma vie c’est moi. J’ai tendance à mettre le bien être des autres en priorité et de penser à moi, à mes envies et à mes attentes en second lieu. Attention cela ne veut pas dire «devenir égoïste» mais faire attention à ce qu’on ressent et écouter nos envies ainsi que notre corps.


J’ai réussi à arrêter les sodas, plus particulièrement le coca. Grande victoire quand je pensais avoir besoin de manière vitale de mon verre de Coca Zéro chaque soir. Je m’en passe aisément au point que quand j’en bois, je me sens mal le lendemain.


J’ai aussi rééquilibré mon alimentation en prenant un petit déjeuner copieux et en mangeant plus léger le soir. Moi qui n’arrivais pas à manger le matin c’est une véritable transformation.


J’ai supprimé de mon vocabulaire le verbe «essayer» également.


Pour la deuxième séance, nous avons privilégié le travail, savoir ce qu’on veut, où on veut arriver, quel chiffre d’affaires à réaliser pour atteindre nos objectifs. Le principal étant de croire en mon projet et d’être persuadée que ça va cartonner!


J’ai découvert grâce à ces séances que je pouvais réussir des exploits et que j’étais plus forte que je le pensais! J’ai aussi fait la rencontre d’une personne extraordinaire qui vous pousse à réfléchir et qui vous bouscule juste comme il faut. Même si parfois c’est difficile de se mettre face à ses erreurs, c’est libérateur par la suite.


Je continue donc ce travail avec Manoelle qui est devenue ma coach mais aussi mon amie et je vous tiens au courant de l’évolution.


Si vous aussi, vous avez besoin d’un coup de pouce afin de changer de vie, contactez Manoelle au 0475/22.07.65.


Et si on disait : "Out le Burnout" ?

publiée le 18 novembre 2014


Bon j’avoue que le thème peut paraître déprimant, et j’étais la première à être moyennement emballée quand on m’en parlait. Mais comme on dit, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.


Je ne sais pas si je vous en ai déjà parlé mais je fais partie d’un réseau de femmes entrepreneurs, les Wonder Women, c’est lors d’une de nos réunions que j’ai eu l’opportunité d’en parler avec une coach. Spécialisée dans la prévention du Burn out au sein des PME, Manoelle van der Straten et son programme « Out le Burnout » m’ont appris beaucoup de choses. Déjà à la base, même si je savais que le burn out était une forme de dépression, j’ai appris que c’est surtout relatif au travail. C’est un épuisement professionnel dont on se sort, à différencier de la dépression dont on ne guérit jamais.


Le Burn Out est un sujet de société très actuel. Il y a un arrêté royal datant du 10 avril 2014 qui prône la prévention relative aux problèmes psychosociaux au travail. L’employeur est dorénavant dans l’obligation de mettre en place des mesures de prévention appropriées afin de prévenir des risques psychosociaux comme le stress, la violence, le harcèlement moral ou sexuel. En sachant que les collaborateurs clés, les plus précieux, performants et les plus investis sont potentiellement en danger de burn-out.


C’est là qu’intervient Manoelle, sachant que les PME ont rarement les ressources nécessaires pour remplir les conditions de cet arrêté. Elle fait un audit interne et une analyse des personnes à risques au sein de la société ainsi que les risques financiers. Elle apporte les solutions nécessaires au chef d’entreprise et les clés à mettre en place pour favoriser le bien-être des travailleurs. Une vraie Wonder Woman en soi… Surtout quand on sait que ceux qui sont le plus « à risques » en matière de burn-out sont les collaborateurs clés, les plus précieux, performants et les plus investis.


Alors comme vous savez que je vous suis totalement dévouée, chers lecteurs, j’ai fait le test afin de savoir s’il y avait des risques de Burn Out chez moi, alors je vous rassure tout va bien. J’ai quelques points à travailler pour un meilleur bien-être personnel que je vais approfondir avec Manoelle en séance individuelle et je vous tiendrais évidemment au courant.


Si comme moi, vous avez l’image du coach comme dans Hitch, je pense qu’on va s’amuser dans les prochaines chroniques et qu’on va être positivement surpris. La suite dans ma prochaine chronique…


Les mecs beaux sont-ils tous des méchants et les mecs moches sont-ils tous des gentils ?

publiée le 04 novembre 2014


Alors je crois que je suis tombée sur le pire du pire en matière de télé-réalité, et encore je suis certaine que les producteurs vont réussir à me surprendre !


Le concept, une jeune fille rêve au prince Charmant, elle est belle, intelligente, proche de sa famille et des animaux. Elle a connu des déceptions amoureuses auprès de beaux garçons qui n’étaient pas bien intérieurement et n’avaient pas les mêmes valeurs qu’elle. Alors elle décide de faire une émission de télé pour rencontrer son prince charmant.


Voilà le début de « la Belle et ses princes presque charmants »… L’émission commence avec les portraits des « princes presque charmants », le casting a été fait pour prendre les garçons les plus laids de France mais avec des belles valeurs (et encore, ce n’est pas le cas de certains).


La « princesse » arrive et elle va à la rencontre de ses « princes ». Elle se décompose au fur et à mesure qu’elle découvre les candidats. Il faut reconnaître que même si elle veut un garçon avec des valeurs, elle voulait aussi qu’il soit beau… (ben oui, puisqu’elle est belle, elle veut un beau garçon !) La production filme sa réaction en caméra cachée et elle n’est pas tendre du tout avec ses nouveaux prétendants mais elle décide de continuer l’émission pour apprendre à les connaître. Serait-ce pour acquérir un minimum de célébrité par hasard???


Quelques jours plus tard, un nouveau groupe de garçons arrive, les mecs beaux mais pas gentils, des goujats qui collectionnent les conquêtes féminines. En résumé, ils sont soit mannequin, soit stripteaseur, soit sportif professionnel. La princesse va-t’elle choisir avec son cœur ou avec ses yeux ?


En gros c’est le combat des moches contre les beaux ! L’émission est pitoyable dans sa démonstration que les mecs moches sont gentils, avec un cœur, limite puceaux et attachants et les mecs beaux en sont réduit à un tas de muscles sans neurone, porté sur le sexe qui collectionne les filles. Je n’ai jamais vu autant de préjugés dans une seule émission !


Le pire ce sont les candidats, surtout les moches, qui ont été choisis parce qu’ils ont un physique ingrat digne d’un dessin animé ! On les ridiculise, ils se ridiculisent aussi d’ailleurs, en les mettant dans une situation où on leur fait croire qu’il y en a un qui va repartir avec la « princesse ». Ils créent une pseudo compétition entre les deux clans, les moches sont jaloux des nouveaux qui s’attirent les faveurs de la princesse. Un « beau » va jusqu’à leur dire, « Vous pensez vraiment que l’un d’entre vous va retourner avec la princesse ? ». (Ils ne sont pas si bêtes que ça les beaux en fait…)


Je trouve cela ignoble de profiter de la faiblesse des gens pour faire du « spectacle ». On sait dès le départ que même si elle a l’air très gentille, la « princesse » est superficielle, elle ne sortira jamais avec un de ces candidats « moches » et elle est faussement gentille avec eux pour les besoins de l’émission.


Le côté guimauve de l’émission est le pire ! Ils peuvent gagner un bisou de la « princesse » grâce à un jeu. Ils lui offrent des cadeaux pour dévoiler leur personnalité… Devinez qui offre les cadeaux « bisounours » comme un poème ou un gâteau en forme de cœur et qui offre des cadeaux plus hot du style un « striptease » ? Ben oui évidemment, il faut encore plus marquer la différence entre les deux clans sinon ce ne serait pas drôle ! Bref, j’apprécie la télé-réalité comme vous le savez mais je ne cautionne en aucun cas ce genre d’émission !


Happy Friends 20th'BirthDay

publiée le 07 octobre 2014


La série culte, Friends, a fêté ses 20 ans ce 22 septembre. Le 22 Septembre 1994, les américains découvraient pour la première fois les personnages de Phoebe, Rachel, Monica, Ross, Chandler et Joey. A ses débuts, peu de gens croyaient au succès de la série et pourtant…


Je suis complètement fan, je pense avoir vu toutes les saisons une bonne dizaine de fois et quand ça repasse à la télé, je les regarde encore ! C’est une des seules séries que je ne sais pas regarder en VO à cause de l’habitude des répliques et des jeux de mots en français.


Cette série m’a donné envie d’avoir un canard ou un poussin, voire les deux ! Je vous rassure, je n’ai pas craqué mais par contre j’ai voulu tester la colocation à cause d’eux et là je peux vous garantir que la réalité n’est pas toujours aussi rose que la fiction !


J’adore boire mon cappuccino dans une énorme tasse, voier dans un bol, (merci le Central Park !) et mon chat s’est appelé Phoebe avant qu’on ne découvre que c’était un mâle (mais ça c’est une autre histoire !).


Je pense qu’ils ont réussi à influencer toute une génération de trentenaires sur l’importance des amis comme une famille qu’on se choisit, ils ont mis en avant la valorisation de l’amitié et le fait de profiter de la vie.


On parle souvent d’une génération « d’adulescents », qui met plus de temps à se poser, à se caser, à se marier, à avoir des enfants que leurs parents. Je pense que Friends en est l’exemple type ! Ils se marient après 30 ans, ont des enfants en dehors du système classique, ils privilégient leur bien-être, ils veulent réaliser leur rêve (Joey est acteur, Phoebe chanteuse et Rachel veut travailler dans la mode). Friends aborde également des thèmes importants avec beaucoup de légèreté comme le mariage gay, l’adoption, la mort, le divorce, le fait d’être mère célibataire…


Alors pour leurs détracteurs, Friends est trop « léger » et trop loin de la réalité, ce sont des buveurs de café fainéants et des adolescents attardés, effectivement si on prend la série au premier degré mais alors ce problème se retrouve dans toutes les séries…


Moi je les trouve attachants, ils m’ont fait rire et c’est le plus important !


Je viens de vivre ma première expérience Feng Shui…

publiée le 26 août 2014


En toute honnêteté, l’image que j’avais du Feng Shui était un peu réductrice et se résumait à avoir un bouddha chez soi, une plaque avec du sable et un râteau ainsi qu’une fontaine à eau. J’ai également vu des émissions où le spécialiste poussait à changer tout l’intérieur de la maison, repeindre, abattre des murs et refaire toute la décoration. Je vous l’avoue que j’étais loin d’être la meilleure candidate pour cet art de vivre.


Il y a quelques mois, j’ai rencontré Annabel, spécialiste en Feng Shui Occidentale, en parlant avec elle, je me suis rendue compte que c’était plutôt un art qui consistait à bien faire circuler les énergies. Mais surtout apporter le bien-être dans la maison avec les éléments existants et sans investissements énormes en sachant que nous sommes en 2014 et qu’on a tous un style de vie qui nous pousse à faire des choix.


Pour ma part, j’ai deux chats d’intérieur et donc 2 litières et je n’ai pas d’autre choix que d’en mettre une dans ma zone « amour » avec également un escalier qui descend dans cette zone, mais on a su faire basculer les énergies.


Quand elle est venue à la maison et a commencé son « travail », j’ai été étonnée de l’énergie que ça demandait et du résultat. En utilisant au mieux les objets déjà présents, mon intérieur a totalement changé. J’ai enfin trouvé des utilités à des objets que j’aimais mais que j’avais du mal à mettre en valeur.


Au bout de 4 heures de changement et de déménagement, j’ai également un beau programme d’amélioration à réaliser. Mettre de la vie et des couleurs dans certaines pièces, en retirer dans d’autres. J’ai un mur aimanté dans mes toilettes avec des photos, la couleur est trop foncée, je vais donc peindre en couleur plus claire et surtout retirer les photos de mes amis qui y étaient, l’endroit n’est pas idéal pour y mettre les êtres chers.


J’ai aussi un tas d’objets et de décoration à revendre à la brocante car ils ont des représentations négatives et donc à bannir de mon intérieur. Je suis heureuse du résultat, je redécouvre certains meubles sous un autre angle et certaines pièces sont maintenant plus « adultes ». Je vous tiens au courant des changements que cela va apporter dans ma vie dans un prochain article.


En tout cas, je vous conseille vivement de rencontrer Annabel et de vivre l’expérience Feng Shui avec elle. Infos complémentaires : https://www.facebook.com/FengShuiOccidental.AD/timeline !


Merci à nos Diables Rouges !

publiée le 15 juillet 2014


A la base, je ne suis pas une grande spécialiste du ballon rond même si je baigne dedans depuis que je suis toute petite, un papa gardien de but ça laisse des traces… J’avoue également qu’avant que la coupe du monde ne débute, la débâcle médiatique, le sponsoring à outrance, la surenchère publicitaire et surtout les campagnes qui utilisaient la coupe du monde pour tout et n’importe quoi, me saoulait et j’en avais déjà marre avant le premier match.


Cependant, à partir du 17 juin et du premier match des belges, tout a changé ! J’ai été prise dans cette spirale noir-jaune-rouge, dans l’engouement d’une nation et dans cette folie belge. J’aime l’effet de cette équipe sur notre pays, le rassemblement d’un peuple derrière un sport. Il n’y a plus de Flamands, ni de Wallons, nous sommes belges et fiers de l’être. Même si d’un côté, on entendra plutôt « Waar is het feestje, hier is het feestje ! » et de l’autre « Tous ensemble, tous ensemble ! », c’est derrière les mêmes onze joueurs que nous vibrons ! La Belgique a vibré aux rythmes des matchs (ainsi que son économie), nous avons retenu notre souffle pour nos diables rouges. On aura entendu des cris de victoire, vu des larmes de joie et surtout ce match contre les Etats-Unis qui nous aura donné des sueurs froides mais qui nous a également donné l’accès au quart de finale. Pour finir sur ce goal argentin qui nous a enlevé nos chances d’aller plus loin….


Même si vous rentrez en Belgique sans la coupe, on reste fiers de vous et de votre beau parcours, merci de nous avoir rassemblés et surtout d’avoir montré que la Belgique existe !


Un gommage du cuir chevelu, UN !

publiée le 3 juin 2014


Aujourd’hui, j’ai testé le gommage du cuir chevelu avec du gros sel marin. D’abord, une petite mise en situation, j’ai les cheveux courts, j’ai un problème de psoriasis, mais en gros j’ai une sorte d’invasion de pellicule quand je suis stressée et j’ai un excès de sébum. Tout va bien en somme !


J’ai un mariage au mois de septembre et j’aimerais que mes cheveux poussent afin de pouvoir arborer une jolie coupe au carré. Sur Facebook, je tombe sur un article pour favoriser la pousse des cheveux selon le « Elle Belgique » et il parle d’un gommage du cuir chevelu au gros sel.


Selon le « Elle », le gommage du cuir chevelu est « idéal pour décoller les impuretés, les cellules mortes et les pellicules, tout en éliminant l’excès de sébum. Il permet également d’activer la microcirculation dans le crâne ce qui a pour effet de stimuler la croissance des cheveux. » Vous comprenez pourquoi ça m’a parlé ! Moi j’ai choisi la version gros sel, j’ai prix du gros sel marin (2€ le kilo en supermarché), j’ai d’abord humidifié mes cheveux, je l’ai fait sous la douche pour le côté pratique. J’ai massé mon cuir chevelu avec le gros sel pendant 5 minutes. J’en ai profité pour faire un gommage complet du corps avec du gros sel avant de me rincer, de me laver et de faire un shampoing. Après la douche, j’ai bien hydraté ma peau avec mon lait corps 2|Nature.


Résultat mes cheveux sont super beaux et légers, je n’ai plus de peaux mortes nulle part et j’ai la peau toute douce. Dans l’article, ils ne disent pas la fréquence d’utilisation, mais je pense le faire comme pour un gommage du corps, une fois par mois. Je vous tiendrai au courant si ça favorise au non la pousse des cheveux mais en tous cas, ça ne peut pas faire de mal !


Et si jamais, pour le psoriasis, j’utilise un shampoing neutre avec deux gouttes d’huiles essentielles de Romarin Verbénonne. J’ai essayé tous les shampoings spécialisés et à part, m’abimer les cheveux, je n’ai eu aucun résultat !


Y-Lan Piron, un véritable coup de coeur artistique...

publiée le 22 avril 2014


Ce samedi, j’ai découvert un lieu magique à Grez-Doiceau, « au Grez des Arts », une galerie qui accueille des artistes dans un cadre magique. Mais j’ai surtout eu un coup de cœur pour l’artiste Y-Lan Piron, originaire de Stembert mais invitée par son cousin à exposer dans notre village. Ses œuvres mettent en valeur le lieu comme le lieu met en valeur ses œuvres, c’est un moment poétique, hors du temps dans ce sous-sol méconnu de Grez-Doiceau.


Y-Lan chante, Y-Lan dessine et Y-Lan voyage, elle passe sa vie entre les Etats-Unis et la Belgique. Pour l’exposition « A Nid Ouvert », l’illustratrice s’inspire du cœur et de la colonne vertébrale comme nid d’oiseau. Elle travaille principalement l’encre de chine et l’aquarelle. Elle aime les détails et passer des heures sur ses dessins, d’ailleurs quand on arrive à l’exposition, elle dessine. Son univers fait également penser à l’univers de Mathias Malzieu (du groupe Dionysos) avec un petit côté Tim Burton mais ce qu’on retient le plus c’est la finesse du trait, la subtilité, la poésie et la délicatesse propre à Y-Lan.


Y-Lan aime aussi l’univers du tatouage, elle a fait dessiner ses propres œuvres sur ses bras et c’est magnifique. Suite aux observations de certaines personnes sur la facilité de se faire tatouer ses œuvres, elle réalise des œuvres pour des futurs tatoués mais c’est un peu frustrant car elle voit rarement le résultat…


La clôture de cette semaine d’exposition se fera le 12 avril par un concert d’Y-Lan en acoustique à 22h, j’ai hâte de la découvrir chanteuse.


Moi j’ai complètement craqué sur un de ses dessins, qui trône désormais dans mon salon, et j’aimerais beaucoup qu’elle me dessine mon prochain tatouage…


On s'était dit rendez-vous dans 15 ans...

publiée le 8 avril 2014


Ce samedi soir, on s’est donné rendez-vous au Sportpaleis avec Kevin, AJ, Brian, Nick et Howie, plus connus sous le nom des Backstreet Boys. 15 ans après le dernier concert auquel j’ai assisté, qu’est-ce qui a changé ?


Premièrement, c’est pas mon papa qui m’a conduit au Sportpaleis, j’ai quinze ans de plus, une voiture, un permis de conduire et plus besoin de demander la permission aux parents pour aller au concert mais par contre, tu le payes toi-même ton concert. Avantages et inconvénients de l’âge adulte…


Deuxièmement, on a vieilli mais je dirai qu’on a tous bien vieilli. Brian est toujours aussi souriant, Kevin, toujours aussi sexy et classe, Nick est devenu pas mal du tout et même Howie s’est amélioré, maintenant AJ n’est plus le bad boys de l’époque, il a pris un peu de poids (et de poils), surtout au niveau du visage. Et pour ma part, fini d’inscrire au marqueur le nom de mes préférés sur les bras, de porter la casquette et d’avoir BSB inscrit sur chaque jour, je n’ai plus 15 ans mais qu’est-ce qu’on se sent bien !


Troisièmement, le public a vieilli aussi, la fosse est assisse ! Quand la caméra passe sur les filles du premier rang, elles n’ont plus 15 ans et de l’acné mais elles ont 35 ans et des petites rides.


Ce qui n’a pas changé c’est l’engouement des fans, les chorégraphies synchronisées sur les tubes qui n’ont finalement pas pris une ride et qu’on connait toujours par cœur. J’avais quand même un peu peur que ce soit « ridicule » et bien ils ont réussi à rester le boysband qu’ils étaient avec une touche d’autodérision et de second degré. Même si certaines chorégraphies ou poses suggestives de Nick nous ont fait sourire, les mecs assurent le show et assument !


Ce qui m’a plu c’est de voir leur complicité, leur liberté, ils sont beaucoup moins cadrés et formatés qu’à leurs débuts. Nous avons eu droit à une session acoustique afin de prouver qu’ils n’étaient pas seulement des beaux gosses et des torses musclés mais des vrais musiciens qui composent leurs morceaux à présent. Dois-je soulever un certain complexe du mec « je-suis-trop-beau-mais-j’ai-aussi-un-cerveau-et-un-côté-artistique ! », j’en ai pas envie car j’ai kiffé ce concert et s’ils reviennent, j’y retourne !


Bakcstreet’s back, ALLRIGHT !


PS: un film retraçant leur parcours va bientôt sortir! RDV au cinéma ;-)


The Voice, pourquoi je préfère la Belgique !

publiée le 25 février 2014


Je préfère The Voice Belgique à son homonyme français, ben oui c'est comme ça et je suis même prête à vous donner mes raisons.


Tout d'abord, Jenifer!


Alors je n'ai rien contre Jenifer, elle m'a fortement inspiré au début des années 2000 au niveau vestimentaire (je lui en veux peut-être finalement!) elle a gagné la première Star Academy, elle a fait des bisous à Jipé, elle chante bien, bref je l'apprécie. Et puis, le petit canard s'est transformé en cygne et elle a commencé à devenir agaçante. (Jalouse, moi?) Elle est sortie avec Maxim Nucci, lui a fait un bébé, est devenue canon de chez canon, et cette année, elle porte une robe juste sublime! Importable mais sublime, genre toi, tu la mets, tu ressembles à rien et il te faut un décapsuleur pour l'enlever, et ensuite tu gardes les ronds métalliques incrustés pendant 10 jours... En gros, elle est énervante, tellement elle est jolie et sympa!


Tandis que du côté belge, on a Bastian Baker.... Pas besoin de vous expliquer, une photo vaut mieux que des dizaines de mots....


Ce qui m'agace dans la version française, c'est le professionnalisme des candidats, c'est une émission pour découvrir des talents, ils sont, pour la plupart, musiciens ou chanteurs de profession et ont beaucoup d'expérience dans le domaine. Quand on voit que Ginie Line (oui vous l'avez peut-être oubliée, mais elle a joué dans "les dix commandements" et dans "Dracula", elle a aussi une carrière personnelle) fait l'audition à l'aveugle, je trouve ça dommage, elle a déjà les contacts pour faire carrière, laissez la place à des débutants... En plus, on ne sait pas critiquer les candidats français, ils sont tous beaux, bien habillés, lookés et chantent tous bien, c'est pas drôle, on n'a rien à Twitter!


Tandis qu'en Belgique, on a des perles, pas forcément précieuses mais des perles quand même, des pépites, des diamants brut, mais surtout on a des gens qui ne sont pas professionnels et qui envoient la sauce (du moins pour certains) et on voit qu'il y a encore du travail, on sait pourquoi on a besoin des coachs. Au niveau du style vestimentaire aussi, il y a du travail, d'ailleurs je voudrais remercier les stylistes et coiffeurs de l'émission sans qui je n'aurai jamais pu poster autant de tweets!


Pour clôturer, je n'aime pas Florent Pagny, mais ça c'est personnel et je trouve que cette année, Mika est fortement mis en avant et c'est plus le "Mika Show" que The Voice. En plus en Belgique, on a BJ et ça c'est juste magnifique "Baby"!


La Saint-Valentin, ou comment remuer le couteau dans la plaie des célibataires !

publiée le 11 février 2014


Le 14 février est la fête des amoureux, faux ! Pour la plupart des couples que je connais, la Saint Valentin n’est pas vraiment importante. C’est un événement pour vendre des fleurs, du chocolat, des sous-vêtements et faire tourner les restaurants. Bref, c’est du marketing qui fait tourner l’économie qui, je vous l’accorde, en a grandement besoin en ce moment !


D’un point de vue purement romantique, « quand on s’aime, la Saint Valentin c’est tous les jours ! », je suis d’accord, même si c’est un peu faux-cul et une manière détournée de ne pas offrir de cadeau le 14 février, mais en même temps tellement vrai. Quand on aime quelqu’un, avons-nous besoin d’un jour précis pour lui prouver ?


Quand je travaillais dans le secteur de l’Horeca, une anecdote m’a fait rire. Un restaurateur m’avait raconté son calvaire quand la Saint Valentin tombait un jour de semaine : « C’est toujours la pire soirée de l’année, c’est Monsieur qui sort Madame mais ils n’ont rien à se dire, ils se sentent obligés parce que c’est la Saint Valentin. Du coup, ambiance de cimetière dans le restaurant. Mais, par contre le week-end avant, ce sont tous les couples officieux qui se pointent et le week-end d’après, les amoureux officiels qui veulent prendre le temps de fêter cet événement ».


J’ai ma propre définition de la Saint Valentin, « le quatorzième jour du mois de février qui consiste à faire une piqûre de rappel, constituée d’une bonne de dose de « vous-êtes-seuls » aux célibataires, au cas où ils auraient déjà oublié leur solitude au coup de minuit de la Saint Sylvestre ! ».


Non, non je ne suis pas réactionnaire, juste réaliste par rapport à un évènement inventé de toutes pièces par des commerciaux. Non, pas les vendeurs de fleurs et de chocolat ! (A noter, je n’ai pas peur de la pression, je dénonce !) Mais, les vendeurs d’alcool et d’antidépresseurs. Je suis même en train de me demander si ce n’est pas une invention du collège des psychologues et thérapeutes… Ce serait encore plus sournois.


Nous sommes manipulés car aucune pharmacie, ni aucun vendeurs de spiritueux n’affiche clairement sa position en placardant sur sa vitrine des cœurs rouges mais il t’attend patiemment, toi le/la célibataire qui n’a qu’une seule envie, que ce jour passe vite, très vite et surtout de tout oublier…


Mon remède pour survivre à la Saint Valentin, s’entourer de copines « célibattantes », pas la copine qui déprime déjà toute l’année, non ça s’est pas le bon plan. Se réserver une (voir deux) bonne bouteille de vin, regarder Bridget Jones, si elle a pu choper Marc Darcy, nous aussi on va trouver l’élu !


Pour finir, dire à ce p***** de Prince Charmant, de se dépêcher de venir, de prendre la voiture (ou tout autre moyen de locomotion moderne) et d’oublier son cheval car on s’impatiente, nondidjù.


Dan Gagnon, de l'humour pour aider les associations

publiée le 28 janvier 2014


Voici une belle initiative qui se doit d’être soulignée, l’humoriste Dan Gagnon n’hésite pas à faire son spectacle au profit d’ASBL. Une fois par mois, au Comedy Club de Bruxelles, il joue son premier spectacle au profit d’une association, qu’il a sélectionnée au préalable parmi les demandes reçues via les réseaux sociaux. Au vu du nombre de demandes, il a même décidé de se déplacer pour jouer dans des petites salles sans demander de cachet. Il a toujours eu cette volonté de se mettre au service des autres, il considère que ça le rend « moins con et moins tourné vers son nombril ». J’ai eu la chance d’assister à une représentation ce samedi 11 janvier à la salle communale de Limal, au profit de l’ASBL « Jardin’Ages ». Le but de l’association est de créer un centre de jour qui accueille 15 adultes porteurs d’une déficience mentale et leur propose deux activités principales, une activité maraîchère et une activité d’hôtellerie dans une résidence-service attachée au centre de jour. (Pour plus d’infos, www.jardinages.be)


L’humoriste québécquois et belge par amour, non pas de la Belgique mais d’une jolie belge en particulier, a une conception toute particulière de son pays d’adoption, de la Belgitude, de son accent et un second degré hilarant. Sa vision de notre pays est tout aussi décalée que lui.


Il nous parle de choses exceptionnelles que nous n’avons pas l’habitude de regarder avec ce regard de « nouveau belge », les ronds-points, la neige qui bloque entièrement notre pays, Louvain-La-Neuve, la culture de la bière et les scouts. Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le voir sur scène, foncez car en plus c’est souvent pour une bonne cause.


Chapeau l’artiste !


Stromae, Hé les Bruxellaires

publiée le 14 janvier 2014


Ce mercredi 18 décembre, j’ai ma place pour le premier concert belge de la nouvelle tournée de Stromae, le début de journée s’annonce rude, hécatombe parmi mes accompagnants, grippe quand tu nous tiens! Finalement, au lieu de partir à 5, nous voilà ma sister & moi en route pour l’Ancienne Belgique. Heureusement on a su revendre les places, on a fait 3 heureux.


Sur place, on rejoint des amis de ma sister, on est quand même 6 au final pour écouter et admirer le Grand Stromae. On doit d’abord se coltiner une première partie “retour vers le futur”, vous vous souvenez la coupe au bol avec le bas rasé “dégagé au-dessus des oreilles”, cheveux plaqués en arrière et la veste bomber typique des années 90, j’ai eu l’impression de me retrouver au collège, il y a 17 ans (ça ne me rajeunit pas!) et le problème c’est qu’au niveau de la musique c’était le même délire. Bref, on a subi 30 minutes de Thomas Azier, et cétait pas mon délire.


Il fait déjà très chaud dans la salle quand la lumière s’éteint. La chaleur montera encore d’un cran avec l’arrivée du maestro et son morceau “Ta Fête”, ensuite ça s’enchaîne, le show est carré, précis, on voit que le mec a bossé et a affiné son univers depuis sa dernière tournée. Paulo est chez lui et n’hésites pas à imiter les accents bruxellois, à saluer le policier de son clip “Formidable” qui est au balcon, sous les applaudissements du public. Il lance des blagues sur “comment expliquer à un Français ce qu’est une mitraillette?” et surtout la révolution du mexicano. Toujours avec humour, il invite également à la rébellion concernant la traduction de frites en “french fries”. (Et au Français, on ne leur expliquerait pas qu’on dit Stromae (aille) et pas Stromaé!) L’ambiance était au top, il s’est amusé et nous aussi, si je n’avais qu’une expression à retenir de cette soirée ce serait “A poil!”. Niveau show, le visuel est tout simplement, splendide. La synchronisation de l’artiste avec son linéaire graphique est impressionnante. On ressent sa maniaquerie et son perfectionnisme, tout est calculé et millimétré! On n’a pas eu de surprises sur “Formidable”, “Papaoutai” ou encore “Tous les mêmes” mais s’il ne l’avait pas fait comme ça, j’aurai été déçue. Le plus impressionnant était le silence religieux pendant le morceau “Quand c’est” où les frissons se font ressentir dans la salle, magnifique moment hors du temps et chargé d’émotions. L’ambiance reviendra vite avec les morceaux plus dansants. Avant de partir, mais surtout de revenir, Stromae nous fait une version nineties de “Alors on Danse”, le public est déchainé, et encore plus quand les premières notes de Faithless se font entendre.


Il finira en remerciant tout son staff après “Papaoutai”. Pour le dernier morceau, on a droit à un instrumental avec un visuel graphique magnifique en finissant sur un “Merci” au public! Vivement le mois d’Avril!


Quand la moitié de Stromae parle de ragnagnas

publiée le 10 décembre 2013


Grâce à 4 heures de tournage et 4 jours de montage, Stromae nous a présenté sa moitié au Grand Journal de Canal+. Prouesse de technologie et d’intelligence, il joue encore la carte de la mise en scène époustouflante, dont lui seul à le secret, pour nous présenter « Tous les mêmes », le dernier titre extrait de son album « Racine Carrée ».


Avant d’arriver au sujet de cette chronique, j’aimerais faire une parenthèse concernant la seule chose qui m’agace quand on parle de Stromae en France, la prononciation de son nom! Ce n’est pas « stromaé » mais Stromae. Je vous explique, en fait c’est le verlan du mot maestro, vous êtes d’accord avec moi qu’on ne dit maéstro… Voilà, parenthèse refermée et comme ça, c’est dit!


Dans sa dernière chanson, il parle des hommes d’un point de vue féminin sans caricature, sans stéréotype, sans cliché et quand il se transforme en femme, il le fait de la même manière et ça fonctionne. Chose inédite, il ose parler des règles, oui les ragnagnas, les menstruations quoi!


La moitié de Stromae parle donc de ragnagnas. Comment les filles dans votre entourage parlent-elles de leurs règles? On a toutes nos expressions personnelles pour parler de cet événement mensuel pas très réjouissant.


Voici mon top 7 des expressions les plus entendues:


  • La plus 'enfant de la pub': Dame Nature me rend visite (référence à la pub Tampax, si jamais…)
  • La plus girly: Les Copines débarquent
  • La plus écolo: c’est la mer rouge
  • La plus militaire: on a un code rouge
  • La plus classique: je suis indisposée
  • La plus oldschool: les anglais débarquent
  • La plus enfantin: jouer à cache-tampon

Selon les pays, les expressions varient également et j’ai trouvé certaines perles sur internet. Au Canada, on dit « Michel est en ville » ou « être dans ses crottes », pas très propre, vous en conviendrez. En Espagne, on parle d’« avoir la tomate », assez explicite! En Italie, l’élégance est toujours au rendez-vous, on dit « avoir le marquis ». Au Mexique, on fait dans la simplicité, « être dans ses jours ». En Pologne, c’est une affaire de famille, « ma tatie est arrivée » et en Tunisie, on relativise « Elle a l’habitude ».


En bref, c’était une chronique sur les ragnagnas et on dit merci à Stromae de me l’avoir inspirée et « Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous aux prochaines règles » comme il dit!


Chantier(s) Art House, un petit coin de paradis au coeur de Bruxelles

publiée le 26 novembre 2013


Comme vous le savez, je ne suis pas une grande fan de Bruxelles! Pour ceux qui ne le savaient pas, c’est fait! Ce n’est pas tellement Bruxelles que je n’aime pas, mais les grandes villes en général, leur manque de place de parking, leurs embouteillages, leurs coups de klaxons incessants, le monde qui s’y bouscule. En fait, je dois avoir un petit côté agoraphobe!


Mais bon, tout se passe à Bruxelles: la mode, les concerts, les rendez-vous professionnels, les sorties entre amis… Donc, je prends sur moi, je monte dans ma voiture et je me rends à Bruxelles en souriant, même si mon sourire disparaît, généralement, rue de La Loi, quand je suis à l’arrêt dans les bouchons à 19h et que le concert à l’Ancienne Belgique commence à 20h…


Bref, ce poste n’étant pas destiné à vous prouver mon désamour pour la ville de Bruxelles, je vais plutôt vous parler de ma merveilleuse découverte. A l’occasion d’un rendez-vous professionnel, j’ai découvert un havre de paix en plein cœur de Bruxelles: Chantier(s) Art House. C’est un concept store d’objets de décoration et de design qui invite également les artistes à y exposer leurs œuvres.


Astrid vous propose également de vous détendre en dégustant un thé ou un café dans le fond de la boutique avec vue sur le jardin pour passer un moment hors du temps. Vous serez accueilli comme des amis! Le midi, sur réservation, elle propose également un lunch.


Je m’y suis sentie comme à la maison, sirotant mon thé, qui était délicieux, en discutant avec des amies comme si on se connaissait depuis toujours. Je n’avais plus du tout l’impression d’être en ville. Le calme est maître de cet endroit, son côté cocooning, zen et relaxant donne une impression de bien-être. Je vous invite à découvrir cet endroit rapidement et à rencontrer Astrid également.


Mes tribulations pour revendre ma Fiat 500…

publiée le 29 octobre 2013


Il y a quelques semaines, sur un coup de tête, j’ai pris la décision de vendre ma Fiat 500! Qu’est-ce qui m’a pris???? Je ne me rendais pas compte du chemin de croix (n’ayons pas peur des mots!) dans lequel je me lançais!

Résumons la situation: j’ai acheté cette voiture car j’en avais besoin, je suis tombée sous le charme de cette petite citadine (ben oui je suis une fille, pour moi, une voiture doit avant tout me plaire…). J’ai été bernée, je me suis vite rendue compte qu’on n’était pas faites l’une pour l’autre. Moi, j’aime une conduite un peu sportive, une voiture qui a un minimum de reprises et avec laquelle je peux dépasser sur l’autoroute avec confiance. La Fiat 500 est très chouette pour la ville, pour une jeune conductrice et pour se garer facilement, c’est tout!


Bref, revenons à sa mise en vente, forte de ma décision (et têtue comme une mule), je prends des photos et mets une annonce sur AutoScout24 et là, la galère commence! Les appels des marchands, les SMS des marchands, les arnaques qui puent, etc.


Le SMS de 7h du mat qui dit « Je la prends pour 5500€ ! » a été celui de trop! Alors déjà, de un tu dis bonjour et tu te présentes, « on peut discuter peut-être! » et de deux, tu ne prends rien du tout! Encore moins pour 5500€ (mise en vente à 8000€).


Bon, il ne me reste qu’une seule solution, faire appel à un homme (et bam pour ma fierté personnelle!), et donc au lieu de faire le légendaire « Au secours, Papa! », j’ai fait « Au secours, Thomas! ». Mais qui est Thomas? Le Super boyfriend de Perrine (oui, oui, Perrine, la même qui vous donne des conseils et des recettes naturelles!), il adore revendre des motos et est assez doué pour ça, donc un petit challenge automobile ne lui fait pas peur! C’est pour lui maintenant, le chemin de croix… Bonne chance Thomas et merci encore!


Cette expérience m’aura confirmé que les femmes ne sont pas programmées de la même façon que les hommes! Pour moi, l’important dans une voiture c’est qu’elle roule bien, qu’elle soit jolie, qu’il y ait un branchement Ipod et que la couleur me plaise! J’ai maintenant appris que l’important c’est, entre autres, un carnet d’entretien avec des cachets. Je vous passe les détails de ma visite au garage Fiat hier soir, « Bonsoir M. le Garagiste, vous pouvez me faire les cachets que vous n’avez jamais fait avant? » avec un grand sourire et mon côté je-suis-une-fille-et-je-n’y-connais-rien-en-voiture.


Bon ben j’espère que, quand vous lirez cette chronique, ma Fiat 500 aura trouvé un nouvel amour et moi aussi, du moins automobile…


C’est la faute à Walt Disney!

publiée le 8 octobre 2013


Si je n’aime pas les chats siamois. Je les trouve arrogants, méchants, sournois et surtout vicieux. Pourquoi? A cause de « La Belle et le Clochard » évidemment! Si je n’aime pas les hyènes. Elles sont méchantes, mesquines et ont un rire sadique. Pour le rire, ça doit sûrement être de la fiction, j’avoue que je n’ai pas été vérifier!


Si une vraie fille doit avoir les cheveux longs. Tu as déjà vu une princesse avec des cheveux courts? Non, alors je t’entends déjà d’ici: « Raiponce, elle a les cheveux courts à la fin! ». Oui d’accord, mais du coup, elle a perdu sa magie, pas de chance pour elle! Fallait pas se couper les cheveux!


Si j’adore les chaussures et que, comme beaucoup de femmes, j’en ai des tonnes. Il nous a donné l’impression que les chaussures sont primordiales pour réussir une histoire d’amour et peut-être même sa vie de femme (j’exagère à peine). Cendrillon a quand même tout misé sur une « pantoufle de verre ». La pauvre fille était une femme de ménage, orpheline, incapable de tenir tête à sa belle-mère et à ses belles-sœurs et a finit princesse de son royaume! Alors après ca, qui osera me dire que les chaussures ne sont pas indispensables dans la vie d’une femme????


Si je ne trouve pas le prince charmant. Par contre, pour lui, c’est un peu différent, il n’existe pas, tout simplement… Non les filles, aucun mec ne va parcourir la Belgique avec une chaussure parce que vous dansiez bien la valse. Aucun homme, après s’être fait tabassé avec une poêle, ne parcourra la ville, juste pour que vous voyiez une nuit étoilée. Aucun mec ne trouvera une lampe avec un génie et un tapis volant pour vos beaux yeux. Aucun baiser ne peut vous ramener à la vie! Mais, si jamais, ça m’intéresse…


Dans la vraie vie, les animaux ne parlent pas, les oiseaux et les souris ne vous font pas de robes, les cheveux magiques n’existent pas, les sirènes non plus, les lampes ne contiennent pas de Génie… Heureusement qu’il y a des gens comme Walt Disney pour créer ce monde magique. Un monde où les souris sont copines avec des canards, où le prince charmant est même prêt à aimer une sirène et où un poisson clown parcourt tout un océan pour retrouver son fils!


Télé réalité

publiée le 24 septembre 2013


"Secret Story c'est fini!" Et non, on ne reviendra pas demain. On est à la fin de quatorze semaines d'aventure marquées par les pleurs d'Alexia, les coups de gueule d'Anaïs « devant la France entière », les stratégies de Gautier et par Vincent.


Pour moi dans cette finale, il manque Eddy ou Julien, Vincent ne méritant en aucun cas une place en finale. Vincent s’est rapproché d’Alexia par dépit et par ennui, il avait juste besoin de quelqu’un pour satisfaire ses pulsions. Il l’a d’abord utilisée comme « sex-friends » en sortant en même temps avec Emilie. Emilie l’a jeté après avoir découvert la situation, Alexia lui a pardonnée. Ils se sont mis en couple, il l’a largué pour Stéphanie. Pour le buzz, il a ensuite largué Stéphanie pour pleurer dans les bras d’Alexia et lui avouer son amour !


Et comme dirait Julien, ancien candidat rentré dans la voiture pour mettre la misère à Vincent, « Alexia est un canard, elle restera un canard toute sa vie ! ». Était-elle vraiment dupe ou est-ce une bonne comédienne ?


Sinon cette année a été marquée par Eddy et ses expressions « trop dares », « t’es en soum ! » « ma foufouna » etc… Eddy était LE candidat de cette saison, drôle et touchant, il mettait l’ambiance et l’a encore prouvé lors de cette dernière semaine.


Ce qui m’a fait rire cette année c’est « Amour Secret » et les fausses discussions entre Vincent & Alexia. Vincent : « Je te quitte Alexia », Alexia « Oui j’ai bien compris mais on se voit quand mon chou ? ». Ou encore entre Clara & Gautier : Gautier « Dis Barbapapa ! », Clara « Mon nom à moi, c’est Clara », Gautier « Oui Pizza-au-feu-de-bois ! ».


La séquence « On-s’en-fout » où il montre la séquence la moins intéressante de la semaine est terrible. La semaine passée c’était Clara qui annonçait qu’elle quittait la maison et bam ! « C’était vraiment très intéressant ! »


Ce que je préfère dans Secret Story, c’est « La Voix » avec son humour grinçant. La Voix, qui nous aura encore touché par son discours aux finalistes et c’est surement elle qui nous manquera le plus, « c’est tout pour le moment » !


Bref, il y aura toujours des détracteurs pour critiquer Secret Story ainsi que ceux qui regardent, mais encore une fois, j’ai apprécié me vider les neurones pendant quatorze semaines !


Comme l’année passée, c’est la sincérité qui gagne cette saison, Anaïs est la grande gagnante avec plus de 50% des voix de Secret Story 7 ! Même si mon favori était Gautier, les joueurs/stratèges ne gagnent jamais. Ca y est, c’est fini et « c’est peut-être mieux comme ça » !


"La femme parfaite est une connasse!"

publiée le 10 septembre 2013


Quand j'ai vu ce livre dans les rayons de la FNAC, je n'ai pas pu m'empêcher d'être curieuse et de crier "alleluia"! Livre de poche au prix désuet et au titre évocateur, je me suis empressée de le faire mien...


Oui cette expression aurait pu être la mienne car effectivement je ne suis pas parfaite et elles m'énervent, les femmes parfaites! D'ailleurs, on en connaît toutes qui nous agacent...


Celle-là même qui, avec 4 enfants, élevés au bio, un job de rêve, un chien et un époux parfait, arrive encore à trouver le temps de faire du sport, cuisiner des menus 3 services quand elle t'invite, avec les légumes du jardin évidement, à faire des cupcakes magnifiques (et délicieux en plus, connasse!) et à garder la ligne!


Ou alors celle qui arrive à sortir de l'avion avec un brushing parfait, un teint de rêve et des yeux de biches! Alors que toi, tu sors de l'avion, les cheveux en bataille et électriques, la mine blanche et les yeux rouges comme si tu n'avais plus dormi depuis 72 heures.


Ou pire, celle qui en fin de soirée, en boîte de nuit, quand le soleil se lève, est toujours parfaitement maquillée, brushée et tient toujours sur ses talons de 15 cm, alors que nous, filles normales... Même pas besoin de faire un dessin!


Bref, si vous vous êtes reconnues dans les exemples de femmes parfaites, ma chronique s'arrête ici, je suis désolée, je ne peux rien pour vous...


Pour les autres, celles qui, comme moi, sont loin d'être parfaites, je vous conseille vivement ce livre qui nous déculpabilise et en fait nous rassure, nous ne sommes pas seules, les filles!


Alors maintenant, on assume de ne pas connaître les paroles de "Get Lucky" mais de faire du yaourt! On assume de ne pas avoir la main verte, au point que même nos cactus dépérissent! On assume de ne pas savoir marcher avec des talons de 15 cm (d'ailleurs, il faudrait arrêter d'en acheter)! Et on assume qu'en soirée, on ne boive pas que du jus de Goyave ou du Kirr Royal!


Cette chronique est dédicacée à Joul, Caro, Gabielle, nMs et Ma! Non, les filles, nous ne sommes pas des connasses!


« C’est la légalisation de la pédophilie »

publiée le 11 juin 2013


La bêtise humaine a atteint son apogée lors de la dernière « Manif pour tous » ce dimanche 26 mai. Une dame lance ces mots, « Cette loi, c’est la légalisation de la pédophilie » ou encore « Ces milliardaires, las d’aller en Thaïlande pour avoir des enfants, pour les sodomiser, vont pouvoir maintenant les acheter, ça va plus vite! ». Vous allez me demander ses sources, et bien c’est Internet selon elle. Ma curiosité n’a fait qu’un bond! Alors, direction Internet pour vérifier.


Tout d’abord, je fais une recherche sur les termes PMA, c’est-à-dire procréation médicalement assistée et GPA, gestation pour autrui. La PMA est une solution pour des couples ayant des difficultés à avoir des enfants, rien de bizarre ni d’anormal. La GPA est autorisée en Belgique, une mère porteuse peut donc donner vie à un enfant conçu sur base d’embryons fournis par un couple, elle n’apporte aucune contribution génétique. L’enfant est donc remis, à sa naissance, à ses parents biologiques.


Après mes recherches sur GPA et PMA sur Internet où je ne trouve rien de relatif à la pédophilie, je vais sur le site de la « Manif pour tous ». J’apprends ainsi que « le mariage n’est pas la consécration d’un amour (ah bon?) mais une institution qui protège la dignité respective des enfants et des parents, qui encadre la filiation ». Mais où est mon conte de fée?


Maintenant qu’ils ont perdu leur « combat » contre le mariage pour tous, les manifestants se « battent » pour le respect de la Famille. Un enfant a besoin d’un papa et d’une maman qui l’aiment. Deux papas ne peuvent-ils pas aimer un enfant de la même manière? Deux mamans ne peuvent-elles pas aimer un enfant? Le concept de Famille a évolué, s’est modifié au cours des ces dernières décennies: les séparations, les divorces, les familles monoparentales, on en parle?


Alors, quand on fouille leur site, on trouve des perles: « GPA, Attention Danger ! Exploitations des femmes pauvres,(…) esclavage ou marchandisation du corps féminin ». Bon je l’avoue, je n’ai pas tout regardé car ça m’énerve et me donne envie de vomir, mais je n’ai rien trouvé concernant la pédophilie!


Ces propos devaient être les divagations d’une vieille conservatrice qui fait un amalgame de tout et n’importe quoi, on a dû mal lui expliquer, elle n’a pas bien écouté les discours rôdés de Frigide Barjot (non, je n’irai même pas dans la facilité d’analyser ce nom!). En attendant, ces propos ont été diffusés, des enfants étaient dans cette manifestation et c’est peut-être ça le problème!


Mat Bastard du groupe « Skip the use » est un des derniers artistes en date à prendre position pour le mariage gay avec ces mots: « Qu’ils aillent dans un orphelinat en Afrique et qu’ils disent aux enfants abandonnés qu’ils n’ont pas le droit à l’amour de deux hommes! » et il fait également référence aux enfants maltraités ; « Je n’ai pas vu dans la manifestation de slogan contre la violence contre les enfants. Pourtant, il y a des couples hétéros qui frappent leurs enfants et on ne manifeste pas contre ça ». Je suis entièrement d’accord avec lui! C’est vrai qu’avoir des parents homosexuels peut entraîner des moqueries dans la cour de récré, mais être trop petit, trop gros, avoir des lunettes, des boutons, être roux… tout peut être source de moquerie.


Je finirai sur ces mots car le débat peut être très long : le plus important est d’avoir des parents aimants et heureux, le plus important est d’épouser une personne qu’on aime et de vivre son conte de fée, que cela vous plaise ou non Madame Barjot.


« Collège Boy », le CSA va-t-il s’en mordre les doigts?

publiée le 28 mai 2013


« J’apprends d’ici que ma vie ne sera pas facile, chez les gens. Je serai trop différent pour leur vie si tranquille, pour ces gens. » Ça ne vous dit rien? Et pourtant, le clip de cette chanson est en train de faire le buzz sur Internet, déjà plus d’un million de vues sur Youtube.


« Collège Boy », le nouveau single d’Indochine, extrait de l’album « Black City Parade », est accompagné d’un clip signé Xavier Dolan. Sorti le 2 mai 2013 à 8h, Madame Laborde, membre du conseil supérieur de l’audiovisuel, s’en insurge déjà sur les ondes d’Europe 1 à 9h à peine. Selon ses termes : « le clip montre des images dont la violence est insoutenable (…) la mort n’est pas esthétique. La torture, ce n’est pas esthétique ».


Jusque-là, on est d’accord Madame Laborde. Néanmoins, personnellement, je trouve ce clip d’un esthétisme rare et la violence n’y est pas insoutenable, n’exagérons rien! Selon vous, « on ne dénonce pas la violence par la violence ! » soit, mais alors comment dénoncer cette violence qui existe dans les écoles, dans la rue, dans les entreprises…? Ici au moins, elle n’est pas gratuite, dans le sens où elle reflète le thème principal de la chanson. Il faut arrêter de se voiler la face : ce qu’Indochine a mis en scène est le reflet d’une société qui n’accepte pas la différence. On voit pire tous les jours dans les films, les séries, les clips vidéo ou encore au journal télévisé (par exemple avec ces manifestations contre le « Mariage pour Tous » qui ont engendré pas mal de passage à tabac d’homosexuels en France).


Je suis pour la non-diffusion de ce clip en journée car je pense qu’il ne doit pas être regardé par n’importe qui, surtout sans un avertissement. Mais Rihanna en tenue SM faisant des poses plus que subjectives dans des clips destinés aux adolescents, c’est tout aussi choquant! Personnellement, ce qui me dérange, c’est la référence au Christianisme, en crucifiant l’adolescent. Ce passage, d’une extrême violence, est une référence déjà faite à maintes reprises. Elle n’apporte rien de plus à l’histoire du clip, si ce n’est un renforcement du statut de martyr. Pour moi, la beauté du clip tient dans l’intemporalité des images: difficile de situer l’époque même si certaines technologies sont très actuelles.


Invité du « Grand Journal » de Canal +, le lundi 6 mai, Nicola Sirkis a répondu aux détracteurs en disant que le but n’était pas de faire du marketing mais de mettre le doigt sur une réalité, le quotidien de certains enfants. Il s’interroge quant à la réaction du CSA car, du public, il a principalement des retours positifs. Selon lui, on voit des choses bien plus violentes ou choquantes à la télévision au quotidien.


Pour ce qui est du coup marketing, il est vrai que vu la vitesse à laquelle leurs places de concert s’écoulent, Indochine n’a pas besoin de buzz pour continuer à exister. En moins de 10 minutes, le concert à Forest National en octobre prochain était sold out, et ce 1 an à l’avance! Le tout à des prix démocratiques et en offrant un réel spectacle à leur public.


Après ce passage télévisuel pour Indochine, Xavier Dolan a écrit une lettre ouverte à Madame Laborde. « Jamais il ne fût question de choquer volontairement, ou de provoquer un coup de marketing (…) ce que, par ailleurs, vous avez fait de votre propre chef en créant ce scandale imaginaire » Xavier Dolan et Indochine ont fait le buzz. Le clip est mis en lumière sur le net. Alors Madame Laborde, heureuse ?


Télé réalité, pour ou contre ?

publiée le 7 mai 2013


« Non mais allo quoi ! » il n’aura fallu que 4 petits mots sur un ton inimitable pour lancer le phénomène Nabilla et relancer le débat sur la télé-réalité. Faut-il supprimer la télé-réalité? Est-elle un bon exemple pour les adolescents? Alors, c’est vrai que la question peut faire débat. Leur pratique inexpérimentée de la grammaire et de la langue française en général n’est pas un très bon exemple pour une génération qui a déjà de grosses lacunes en orthographe, faute au langage SMS notamment. L’apologie de l’esthétique poussée à l’extrême par des poitrines gonflées à coup de bistouri, des bouches repulpées, des pommettes rehaussées ou encore des extensions capillaires utilisées à outrance dévalorise le côté réalité de ce genre télévisuel.


En France, le phénomène télé-réalité reste quand même très soft et s’est déjà assagi par rapport à ses débuts. On se rappelle du premier « Secret Story » où Tatiana et Xavier copulaient dans toutes les pièces de la maison et où La Voix avait instauré une journée sans mots grossiers qui a coûté à beaucoup leur cagnotte. On les voyait également fumer et boire, choses qui sont plus cachées aujourd’hui.


Par contre, aux Etats-Unis, il y a des programmes beaucoup plus trash comme « Geordie Shore », célèbre grâce à ces candidats qui ne font que boire et s’envoyer en l’air à tour de rôle.


Pour Eric Naulleau (ancien chroniqueur de l’émission « On n’est pas couché » notamment), « la télé-réalité, c’est le cancer de notre siècle ! ». N’est-ce tout de même pas un peu exagéré ? Pour ma part, je regarde la télé-réalité et j’aime m’en amuser. J’appelle ça mon « vide-neurone », cela fait du bien après une journée de travail de regarder une émission sans devoir réfléchir, de suivre les aventures scénarisées, faut-il encore le préciser, de Nabilla et compagnie.


Et puis, la télé-réalité, ce n’est pas que « Les Anges », « Secret Story » ou « Qui veut épouser mon fils? », ce sont aussi des émissions comme « Top Chef », « Koh-Lanta » ou encore « The Voice ». Tout n’est pas mauvais dans ce genre télévisuel, on y montre également des gens passionnés avec de la volonté et l’envie de réussir, des personnes qui travaillent dur au quotidien pour arriver à atteindre leur but, leur rêve.


Arrêtons de mettre tous les maux de notre société sur le dos d’un concept. Il y a quelques années, quand des tueries avaient éclatés aux Etats-Unis, on avait mis l’accent sur la responsabilité des films d’horreur. Pour citer Wes Craven (réalisateur de film d’horreur américain), « ce ne sont pas les films qui font des tueurs mais ils rendent plus imaginatifs ». Ce n’est pas la télé-réalité qui fait cette génération d’adolescents mais ils en reprennent certaines expressions, attitudes, tout comme on le faisait aussi avec le « Salut, tu vas bien ? » des Inconnus ou le « cassé » de Brice de Nice.


Parents, prenez vos responsabilités et prévenez vos adolescents que cet empire du vide est scénarisé, que ce n’est pas la réalité, qu’on ne devient pas une star en passant à la télévision. C’est peut-être un accélérateur de carrière mais il y a du travail en amont. Et puis, la télé-réalité n’est-elle pas le reflet de notre société où on joue sur le paraître plus que sur l’être? Quand on voit tous ces adolescents s’exhiber sur Facebook, s’envoyer des « jtm ma chewie, t’es tro 1 bitch ! » entre filles, personnellement, ça m’interpelle plus que Nabilla et compagnie ! J’ai envie de leur dire, les filles respectez-vous, sinon personne ne le fera !


Moi, je suis de la génération « Hélène & les garçons », je me voyais déjà à l’université, dans une chambre avec mes deux copines, aller boire des verres dans une cafet’ où on ne paye jamais. On aurait eu chacune un amoureux qui serait trop beau, trop gentil et, en plus, ferait de la musique avec ses copains. On n’irait pas souvent aux cours d’ailleurs, mais on aurait quand même notre diplôme. Elle ne serait pas trop la belle vie ? Alors franchement, je ne sais pas ce qui est mieux…


Finalement, la vie est belle…

publiée le 23 avril 2013


En cette fin de soirée du 03 avril 2013, je suis arrivée, par hasard, au début de l’émission « La parenthèse inattendue » sur France 2. J’ai vécu un beau moment où le temps semblait suspendu grâce au philosophe Alexandre Jollien, invité à l’émission en compagnie de Patrick Timsit & Véronique Genest.


Pour ceux qui ne connaissent pas l’émission, le concept est d’inviter trois personnalités pour une journée et une nuit à la campagne. En général issus d’univers différents, les invités racontent leur vie, leur parcours, apprennent à se connaître (personne ne sait qui d’autre est invité) en faisant la cuisine, en se promenant dans une belle propriété campagnarde.


Même si j’ai un attachement tout particulier pour Véronique Genest (j’ai grandi en regardant Julie Lescaut et elle est en plus le sosie officiel de ma maman), c’est Alexandre Jollien qui m’a emmené dans son monde.


Alexandre Jollien a basé sa vie et sa philosophie sur la joie, le partage et la méditation. Petit détail, il est handicapé de naissance, il est né avec le cordon ombilical autour du cou et c’est grâce (selon ses propres termes) à son athétose qu’il est devenu ce qu’il est. Il a écrit 6 livres, « Eloge de la Faiblesse », « Le métier d’Homme », « La construction de soi », « Le philosophe nu », « La philosophie de la joie » et « Petit traité de l’abandon ». Je n’ai qu’une seule envie, les dévorer.


Je ne pense pas être arrivée sur cette chaîne par hasard, j’ai été attirée comme un aimant et je n’ai pas su en décrocher, Alexandre Jollien m’a hyptonisée !


J’essaye de développer cette philosophie de vie au jour le jour, celle de la joie de vivre, du bien-être, de la positivité, et grâce à Alexandre, j’ai encore appris pendant cette « parenthèse inattendue ». Même si ce n’est pas tout les jours facile, il a su me redonner foi en cette philosophie. Il a soulevé un point important pendant l’émission: la vraie liberté arrive quand le regard d’autrui ne nous détermine plus.


Merci à Frédéric Lopez pour cette VRAIE « parenthèse inattendue » et pour ce beau moment de télévision.


Pour plus d’informations sur Alexandre Jollien : www.alexandre-jollien.ch.


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