
Delphine Roloux
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Catégorie : Vie Quotidienne
Chroniqueuse depuis décembre 2022
Coach en développement personnel
Et pourquoi ne pas essayer le massage métamorphique ?
publiée le 08 février 2023
Le corps est un tout. Physique, mental et émotionnel sont étroitement liés. Le massage métamorphique vise à rétablir la connexion entre ces différents plans pour un mieux vivre. Cette technique dite « de métamorphose » permet une harmonisation énergétique et une libération des mémoires cellulaires.
En quoi cela consiste-t-il ?
C’est une technique qui s’inspire de la réflexologie. Par des touchers spécifiques sur certains points réflexes, situés sur les pieds, les mains et la tête, ce massage très doux permet la reconnexion avec notre force de vie.
Les pieds correspondent au mouvement, à notre capacité à avancer dans la vie.
Les mains symbolisent notre capacité de faire, d’oser prendre notre vie en mains mais également de donner ou de recevoir.
La tête est le siège de la réflexion, c’est de là que partent nos idées pour mener notre vie, notre propre barque.
Quels sont les bénéfices ?
La première étape est celle d’une relaxation profonde qui va petit à petit permettre de se libérer ou de soulager des sensations d’inconfort ou des émotions désagréables, comme la peur ou le stress.
Des transformations peuvent alors se produire : les vieux schémas désagréables cèdent avec plus ou moins de rapidité, en fonction de nos résistances. Le massage nous aide ainsi à libérer certains blocages qui nous empêchent d’agir, d’avancer.
Il en résulte un rééquilibrage, une harmonisation, ce qui apporte confiance, force et même sérénité. Nous pouvons envisager de nouvelles perspectives, prendre conscience de nos possibilités, avoir confiance dans notre potentiel.
A qui est-il destiné ?
A tout le monde ! C’est un processus de bien-être, de reconnexion à soi-même.
En agissant sur nos pensées limitantes et sur notre reconnexion à nous-même, le massage métamorphique peut aussi être un excellent complément d’un suivi de coaching.
Salon de l'Auto, soldes... de la difficulté de faire un choix
publiée le 25 janvier 2023
Janvier est synonyme de bonnes affaires : c’est la période des soldes et en plus, cette année, c’est le salon de l’automobile. Mais toutes ces opportunités apparentes génèrent aussi un stress : celui de choisir. Et ce stress connaît lui-même différents étages.
Le premier niveau est celui du choix du modèle. Plutôt la marque A que la marque B ? Plutôt un pull qu’un gilet ? Cela concernera les doutes sur la couleur ou le motif.
Le deuxième niveau est plutôt celui des priorités dans la gestion des dépenses. Si je choisis cet équipement sur la voiture, dois-je réduire mes vacances cette année ? Si j’achète ce manteau, je ne pourrai pas aller au restaurant ce mois-ci.
Le troisième niveau est plutôt rattaché à celui du choix de vie. Etre en accord avec des choix plus écologiques, avec des méthodes de fabrication, éviter la surconsommation,…
Pour éviter que le stress s’installe, mieux vaut comprendre comment notre cerveau fonctionne pour choisir. Que ce soit pour la couleur ou pour un élément plus important, nous fonctionnons toujours en deux étapes. La première est celle de l’analyse des possibilités. Quels sont les choix qui se présentent à moi ? Un premier tri s’opère inconsciemment, jusqu’à ce qu’il ne reste que quelques options. Arrive alors la deuxième étape : celle de la comparaison. Et plus le choix nous paraît important, plus nous allons chercher des critères objectifs, comme l’analyse du pour et du contre. C’est aussi à ce moment-là que vont interférer les « électrons libres » : les avis des autres (à ta place, je ferais…), l’influence des réseaux sociaux ou encore ce qu’on imagine que les autres pensent. Parfois, cela peut mener à ce qu’on appelle le FOBO, qui vient de l’anglais Fear Of Better Options (ce qui veut dire qu’on a peur de rater une meilleure option qui pourrait peut-être exister).
Que faire ? Prenez la décision qui vous rend heureux, écoutez-vous, faites-vous confiance. Acceptez aussi que vous pouvez vous tromper. Si vous êtes face à un choix de vie par exemple, d’autres techniques peuvent être mises en place, éventuellement avec l’aide d’un professionnel.
Fêtes de fin d’année : joie ou déprime ?
publiée le 14 décembre 2022
Oui, la plupart des gens adorent cette période : les cadeaux, les repas aux mets inhabituels, les soirées partagées avec famille et amis,… Pourtant, pour certains, c’est plutôt une période noire. Etes-vous de ceux-là ? Si oui, pourquoi ?
C’est une période surestimée
En effet, les publicités, les films, les réseaux sociaux nous donnent une image de fêtes féériques, bien au-dessus de ce que nous pouvons envisager. Cette représentation idyllique nous ramène à notre réalité. Nous n’avons pas l’espace, pas l’argent pour de telles fêtes. Et en se comparant à cette vision pourtant totalement irréaliste, on a l’impression d’avoir raté quelque chose.
C’est une période de nostalgie
Nous comparons les fêtes actuelles avec celles dont on se souvient avec nos yeux d’enfants. On ressent aussi l’absence de nos proches, notamment en cas de décès récent.
C’est une période obligatoire
Comment passer à côté ? Des semaines, voire des mois avant, on ne peut pas ignorer que les fêtes de fin d’année approchent. Et c’est là que les questions commencent : Quelle décoration ? Quel menu ? Quel cadeau ?
Tout ce contexte peut nous mettre la pression, que ce soit psychologiquement (on n’est pas nécessairement au mieux de sa forme au mois de décembre) ou financièrement. On n’a pas toujours envie mais on croit devoir participer. Celui qui veut rester seul ou passer une soirée normale, donne une image négative, celle de quelqu’un qui est déprimé voire asocial.
Que faire alors ?
Avant toute chose, il faut déculpabiliser. Agir différemment ne signifie pas être moins bien. Vous forcer ne fera qu’accentuer votre mal-être. N’hésitez pas aussi à communiquer, à expliquer ce que vous ressentez à vos proches, aux personnes qui comptent pour vous. Ils préfèreront savoir pourquoi vous agissez autrement plutôt que de vous voir vous forcer. Enfin, pensez à vous appropriez les fêtes autrement. Partez quelques jours. Mettez en place d’autres traditions, qui ont un sens pour vous et qui sont le reflet de vos attentes, de vos désirs. Vous verrez, cette période vous réservera peut-être de magnifiques surprises.